Présentes dans les eaux et les sédiments, les substances dangereuses menacent l’état des rivières du bassin Loire-Bretagne.

L’action nationale de recherche et de réduction des rejets de substances dangereuses dans les eaux (RSDE), qui a débuté en 2002, se poursuit. Elle prescrit une surveillance des micropolluants pour les stations de traitement des eaux usées d’une capacité nominale d’au moins 10 000 équivalents-habitants.

Le conseil d’administration de l’agence a souhaité apporter une solution de financement aux collectivités concernées. La campagne d’analyses des eaux brutes ou traitées et des boues, à réaliser en 2018, et le diagnostic, à lancer pour certains dès 2017, peuvent tous deux bénéficier d’un soutien financier conséquent de l’agence pouvant atteindre jusqu’à 60 % de subvention. Ces aides sont ouvertes dès à présent et sur la durée restante du 10^e programme se terminant fin 2018.